Bonne et heureuse année 2015

Posté par leblogdegaudius le 1 janvier 2015

Chères et chers ami(e)s,

Je vous souhaite à toutes et à tous une bonne et heureuse année 2015, pour les vôtres et pour vous mêmes, et vous adresse par la même occasion tous mes voeux de Paix Profonde.

bonne année 2015

Gaudius

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La foi est essentielle…

Posté par leblogdegaudius le 28 mars 2014

Un nouvel ajout, toujours tiré du CD de la Convention de Dunkerque.

Et parce que la vidéo parle d’elle-même.

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Les guanches- El guanche Bereber (a vava inou va version guanche)

Posté par leblogdegaudius le 19 février 2014

Avant de vous faire partager cette vidéo que j’ai découverte fortuitement, je souhaiterais vous communiquer un article traitant de ce peuple méconnu:

http://secretebase.free.fr/civilisations/autrespeuples/guanches/guanches.htm

« LES GUANCHES
Une civilisation aux CanariesLes guanches- El guanche Bereber (a vava inou va version guanche) arrow-10x10 et aux Açores

Les archipels des Canariesarrow-10x10 Atlantide et des Açores constitueraient les ultimes vestiges d’un continent englouti.

 

Les archipels des Canariesarrow-10x10 berbères et des Açores constitueraient les ultimes vestiges du continent englouti. Qu’on soit d’accord ou pas avec cette hypothèse, il faut reconnaître que l’origine des premiers Canariens pose un réel problème ethnologique. Quand les navigateurs français débarquèrent en 1406 pour la première fois aux îles Canariesarrow-10x10 guanches, ils se trouvèrent en présence d’indigènes au teint clair et de taille haute, qui se désignaient eux-mêmes sous le terme de Guanches, mot qui veut dire  » homme « . Chacune des sept îles de l’archipel des Canariesarrow-10x10 Robert CHARROUX, abrita une culture propre mais apparentée, jusqu’à leur extermination par la conquête espagnole (1402-1500) : les Guanches ont cependant laissé des momies et des pyramides…

 

guanches Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes vestiges du continent englouti. Qu’on soit d’accord ou pas avec cette hypothèse, il faut reconnaître que l’origine des premiers Canariens pose un réel problème ethnologique. Quand les navigateurs français débarquèrent en 1406 pour la première fois aux îles Canaries, ils se trouvèrent en présence d’indigènes au teint clair et de taille haute, qui se désignaient eux-mêmes sous le terme de Guanches, mot qui veut dire  » homme « .Lorsqu’il fut possible de comprendre leur langue, les Français furent étonnés de voir que les Guanches se croyaient seuls au monde, persuadés d’être les derniers survivants d’une terrible catastrophe qui, plusieurs millénaires auparavant, avait anéanti l’humanité toute entière. Pendant près de 60 ans, les Français vécurent en harmonie avec les populations locales.

 

Au début, cependant, le peuple guanche s’opposa à cette incursion étrangère. Avant que Jean de Bethencourt chambellan de Charles VI, puisse étendre son hégémonie sur les Canariesarrow-10x10, ses troupes eurent à faire face à la résistance désespérée des Guanches qui préféraient la mort à la servitude.Dans ces combats, les Français reconnurent le courage et la bonne foi de ces indigènes. Jean de Béthencourt racontera d’ailleurs lui-même que ses soldats s’étant emparés d’un groupe de femmes réfugiées dans une grotte de Fuerteventuraarrow-10x10, ils virent l’une d’elles étrangler son enfant pour qu’il ne tombât pas entre les mains des envahisseurs.La conquête de l’archipel des Canariesarrow-10x10 par les Espagnols, en 1478, acheva de réduire ce peuple à l’impuissance. Dans ce même temps, une épouvantable épidémie, appelée par les Espagnols  » modorra « , décima les Guanches qui n’avaient pas accepté la défaite. Dès lors, les survivants se virent offrir le baptême et leurs noms désormais hispanisés se confondirent bientôt avec ceux des conquérants.Les ethnologues anciens et modernes qui ont étudié la nature de cette race guanche ont distingué deux types bien distincts. L’un, le plus répandu, de taille haute supérieure à 1,80 m, imberbe, aux yeux et à la peau clairs, et au front de penseur. L’autre, de taille plus réduite, avec une peau sensiblement plus brune, des yeux de jais et un profil convexe qui révélerait un origine sémite. Il y a encore, mais de façon très localisée, à Gomera, des individus de courte taille et à tête large. Les Français d’abord, puis les Espagnols, furent très étonnés d’observer ce peuple guanche aux mœurs si archaïques, mais héritiers d’une civilisation évoluée et originale. Tout en ignorant l’usage des métaux et des tissus et n’utilisant que des outils en pierre, ils connaissaient en revanche l’écriture, l’astronomie et appréciaient la poésie. Leur législation, encore, était très élaborée et leur religion avait des rites compliqués. L’alphabet des Guanches, fort heureusement recueilli par les premiers missionnaires envoyés aux Canariesarrow-10x10, ressemble aux alphabets des langues sémitiques (Phénicien, Carthaginois, Hébreu). Mais on a découvert à plusieurs reprises dans les îles de l’archipel, des inscriptions en caractères inconnus. Lors d’un voyage effectué sur place, Robert Charroux a pu photographier une des ces inscriptions alphabétiformes à La Caleta (île Hierro).Les linguistes ont pu établir certaines connexions entre le Guanche et les dialectes parlés par les Touaregs et par les Berbères, et plus spécialement par les Senhadja qui habitent le Hoggar. Des traces d’influence arabe semblent certaines. Il ne fait aucun doute, pour le moins, que le monde antique connut l’existence des Guanches. Ainsi, le roi de Mauritanie, Juba II, qui vivait au Ier siècle de notre ère, nous parle des îles habitées par cette ethnie. II vante leur nombreuse population et leur prospérité. L’île actuelle de Ténériffe, aux riches plantations de palmiers dattiers, était appelée jadis  » Junonia « . Plus loin encore dans les siècles, Platon lui-même décrit les Guanches comme de grands hommes blonds, mais il leur prête aussi une maîtrise incomparable dans l’art de traiter les métaux et d’édifier les cités. Ce qui est incontestablement à l’opposé des possibilités guanches du XVème siècle, qui n’utilisaient plus qu’un outillage d’os, de pierre ou de bois, et aménageaient des grottes pour y habiter. En rapport encore avec d’anciennes relations entre les Guanches et des peuplades du Sahara, le colonel Braghine cite une trouvaille près de San Miguel, dans l’île de Ténériffe, d’une soixantaine de momies, environnées d’un grand nombre de poteries et de peaux de lion. Or, souligne cet auteur,  » ce qui a plongé les savants dans une grande perplexité, c’est que le lion n’a jamais existé sur ces îles ! « ( L’énigme de l’Atlantide, 1952).Le rapprochement linguistique du guanche et de l’arabe constituerait pour plusieurs auteurs une preuve de l’origine atlante de la population des Canariesarrow-10x10. Les Touaregs avec qui ils auraient été en rapport, ancêtres eux-mêmes des Garamantes, seraient les descendants de ce  » peuple de la mer  » refoulé de la Vallée du Nil par les soldats du Pharaon Ramsès Il au XIIIe siècle avant notre ère.

Récemment enfin, des anthropologues ont fait observer une prédominance du groupe sanguin O parmi les Canariens de souche. Or, avec eux se signalent les Basques et les Corses. Si il est à peine besoin de souligner combien le  » mystère  » basque n’a toujours pas été élucidé, on se souviendra que les Corses furent entraînés dans l’immense déferlement des envahisseurs venus du Nord.

 

LA RELIGION

 

Les Guanches semblent avoir été monothéistes : explorateurs espagnols et chercheurs actuels s’accordent à dire qu’ils vénéraient le soleil et l’eau, synonymes semble-t-il de vie ou survie dans une société basée sur l’agriculture et l’élevage. On relève également l’existence d’un jurement ( Mageb ) sur le soleil et le Telde, le majestueux volcan qui surplombe l’île de Ténériffe.
Comme dans l’Europe néolithique, les Guanches vouaient une importance particulière à l’élément féminin, en tant que symboles de fertilité et de fécondité que personnifiait la femme. Celle-ci jouissait donc d’une place privilégiée au sein de cette communauté fortement hiérarchisée, dont témoignent les rituels de momification et la richesse des matériaux ( peaux essentiellement ) dans les sépultures.

musee

 

RITES FUNERAIRES ET MOMIFICATION

 

La religion monothéiste des Guanches semble avoir associé leurs momies à des motifs peints, et gravés tant sur le mobilier funéraire que sur les parois des cavernes où les rites étaient pratiqués. En effet, les Canariens y déposaient leurs morts, le plus souvent en décubitus dorsal. Les sépultures collectives étaient courantes et aménagées de murets pour compartimenter les corps en diverses niches. Nobles et notables bénéficiaient, quant à eux, de tumuli ou de grottes artificielles selon le cas, très fréquents sur l’autre île de Gran Canaria. Les tumuli sont inexistants sur Ténériffe, et les grottes artificielles de Gran Canaria étaient généralement regroupées en nécropoles.

 

momie La momification semble avoir été réservée aux seuls nobles et notables ( menceys ), quoique la variété des procédés donne à penser que le reste de la population ait pu aussi en bénéficier. La technique consistait en une éviscération préalable pratiquée pour les seuls menceys, mais le cerveau n’était jamais extrait comme en Egypte ancienne. Le corps était ensuite recousu et exposé au soleil pour dessèchement, avant d’être ceint de bandelettes végétales et enveloppé d’un linceul en peaux travaillées.
Les momies exhumées depuis les grottes ont été retrouvées souvent enveloppées de jonc, avec leurs viscères placées dans des récipients déposés près du corps, ce qui rappelle là la pratique des vases canopes en Egypte.

 

On a également observé divers cas de trépanation, sans doute à des fins thérapeutiques ou chamaniques. Enfin, s’il nous reste peu d’éléments sur leur culte des morts, on connaît néanmoins quelques pratiques qu’avaient les menceys nouvellement élus sur le corps de leurs prédécesseurs.

 

LES PYRAMIDES DE GUIMAR

 

Sur le plan architectural, l’île de Ténériffe recèle le lieu archéologique le plus spectaculaire de tout l’archipel : le site de Güímar compte plusieurs pyramides à étages, avec une orientation nord-sud sur l’axe du solstice d’été. La perfection de la taille de diverses pierres d’angle comme les structures pyramidales leur confère un caractère cérémoniel, voire astronomique : puisque l’Institut d’Astrophysique des Canariesarrow-10x10 en considère le sommet comme propice à l’observation du ciel.


pyramides02

 

Entre les pyramides, diverses places ou aires délimitées auraient pu servir de lieu de culte ou d’expériences sur les cultures. En effet, l’observation des mouvements de la lune et du soleil peut avoir servi à l’identification de cycles agricoles, comme semble l’étayer leur localisation près des points d’eau d’une part, et l’abondance de gravures rupestres attenant aux astres comme au cosmos d’autre part.près un siècle de conquête, les quelques 70 000 Guanches estimés pour 1402 ( dont ~30 000 sur Ténériffe et autant à Gran Canaria ) avaient déjà étaient réduits au tiers au début du XVIe siècle. Cette baisse drastique de leurs effectifs est due moins aux guerres contre l’envahisseur qu’à leur asservissement en esclavage vers l’Espagne.Si la langue et le système sociopolitique des Guanches ont aujourd’hui disparu après leur destruction systématique par les conquistadors, pratique qu’ils poursuivirent ensuite en Mésoamérique, les abondants témoignages d’époque et la recherche contemporaine apportent quelques lumières, telle leur parenté linguistique avec la langue des peuplades berbères des XIXe et XXe siècles… On ne peut donc qu’imaginer ce qu’étaient ces hommes perdus au large des côtes africaines, ces bâtisseurs de pyramides soigneusement taillées et construites, qui alimentèrent des siècles plus tard les théories diffusionistes de Thor Heyerdahl. »

 

Cela m’a rappelé une conférence sur l’Atlantide à laquelle j’ai assisté et j’avoue que les arguments qui étaient avancés étaient assez troublants. Robert CHARROUX, en son temps, penchait aussi pour l’origine atlantéenne des guanches, (et aussi des anciens peuples qui se répartissent sur toute la façade atlantique, comme les basques, mais ma mémoire n’est pas infaillible).

Quant à la vidéo, c’est une adaptation d’une chanson de IDIR, « A vava inou va ». Voici la version « berbère »:

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Vous pouvez suivre les paroles que j’ai tirées de ce site

http://izuran-archivos.blogspot.fr/2007/06/guanche-bereber-cancin-de-almogarn.html

La canción es del grupo grancanario de Valsequillo « Almogaren ».
Del fondo de los siglos viene
el guanche bereber, el guanche bereber
Líbica sangre africana, libio guanche bereber
Del fondo de los siglos viene
el guanche bereber, el guanche bereber

Líbica sangre africana, libio guanche bereber

África no es sólo el sur, ni solo el negro africano
África es también el norte, esclavo negro, esclavo blancoarrow-10x10
Hijo de la esclavitud, del hambre, de las cadenas
De nuestra sangre y sudor toda el África está llena.

Y no quedó en el África dolor sembrado
que llevó el hispano en sus cárceles marinas
Y el indio vio su mar Caribe enfurecido
Al restallar de látigos en manos asesinas.

Indios, guanches y negros,
Negros, guanches e indios
La tierra americana
del África es hermana.

En America del sur y en el norte americano
A tronar de los cañones de los indios más escalvos
hijos de la esclavitud del hambre de las cadenas
con nuestra sangre y sudor sangran África y America

Y aún quedo en el África el dolor sembrado
Creció en la tierra un pueblo en rebeldía
quedó en America el indio empobrecido
Mientras que…

Les paroles sont en espagnol, mais je n’ai pas la traduction et il manque un morceau. Quoi qu’il en soit, bonne écoute à toutes et tous.

 


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Bonne année 2014!

Posté par leblogdegaudius le 1 janvier 2014

Nouvel an - Copie

Que cette année qui vient vous réserve de bien beaux moments, et qu’elle soit l’occasion pour vous de progresser sur le chemin que vous avez choisi.

Avec tous mes meilleurs voeux de Paix Profonde.

Gaudius.

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Rose-Croix et société: un nouveau blog rosicrucien

Posté par leblogdegaudius le 4 décembre 2013

Descriptif:

Tradition et société

Les Rose-Croix sont trop souvent perçus comme des mystiques préoccupés uniquement par la dimension spirituelle de l’existence, au détriment de son aspect matériel. Si besoin était, les textes que l’A.M.O.R.C. destine régulièrement au public prouvent que ses responsables observent avec beaucoup d’attention et d’intérêt la marche du monde. Ainsi, au-delà des clivages religieux et politiques, ils font connaître de temps à autre leur point de vue sur la société et sur l’orientation qu’il faudrait lui donner pour que son avenir soit aussi positif que possible. Ces textes ont été rassemblés ici pour permettre à chacun d’en prendre connaissance

et c’est ici (ajouté sur ma liste des liens AMORC):

http://www.rose-croix-et-societe.fr/

img.php

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Un rituel funèbre

Posté par leblogdegaudius le 25 mai 2013

C’est fait.

Aujourd’hui, nous avons rendu un dernier hommage à notre frater Henri lors d’un rituel funèbre. Ceux qui l’ont connu et aimé étaient là, les anciens de Valenciennes ou de Lille, les nouveaux, un membre de la famille…  Nous attendons et discutons avant le début de la cérémonie. Puis c’est l’heure et les conversations cessent immédiatement. Nous pouvons enfin entrer dans le temple où nous sommes accueillis par le sourire chaleureux de Frater Henri, et par le maître officiant.En effet, la photo de notre Frater est en bonne place et y restera tout le temps de la cérémonie. Notre frater avait emprunté la voie rosicrucienne il y a des années et il avait fait de la Rose-Croix le symbole de son travail et de son engagement pour l’avancement de l’humanité. Comme nous tous, il pensait que la mort était une étape, un passage, une transition vers le monde  spirituel et à présent, il vivait dans la lumière, dans un éternel présent. Dès lors, pourquoi cette cérémonie aurait-elle été empreinte de tristesse? De l’émotion, bien sûr, mais douce, positive.. Joyeuse? Y a-t-il un terme pour décrire cette émotion, qui vous fait monter les larmes aux yeux mais sans tristesse aucune, cette émotion faite de gratitude, de respect, d’heureux souvenir, qui fait qu’on est heureux pour notre cher disparu de le savoir présent d’une certaine façon, éternellement présent et qu’il nous suffira d’évoquer son souvenir pour qu’il vienne aussitôt? Comment appeler cela? Faut-il d’ailleurs en faire une définition?  Qu’importe, cette émotion laisse ensuite la place à l’apaisement, et en une courte méditation, nous nous harmonisons et nous communions avec son âme, une  âme qui a rejoint les autres et qui a fusionné avec la Grande Ame Universelle. Ou plutôt qui a réalisé, pris conscience de son unité avec elle. C’est nous qui, incarnés sur le plan terrestre, oublions notre origine divine et que nous sommes reliés à l’Etre, que nous sommes reliés les uns aux autres d’une certaine façon, tout occupés que nous sommes à nous maintenir en vie, à lutter contre l’adversité, à élaborer des projets, à travailler, inventer, rêver; bref, à vivre notre vie humaine soumis aux contingences matérielles. Débarrassé de ces mêmes contingences matérielles, Frater Henri a en quelque sorte retrouvé la mémoire et son état originel. Nous pouvons en avoir un aperçu fugitif lors de nos méditations, ou que nous oublions momentanément notre environnement pour vivre réellement l’instant présent, à réaliser que nous sommes, sans avoir besoin de rajouter quoi que ce soit.

C’est donc sur une notre sereine que cette cérémonie prit fin et que nous sommes retournés dans la salle d’accueil, d’abord encore silencieux et respectueux, puis un peu plus diserts. Autour d’un jus de fruit ou d’un café, nous évoquons ses réalisations, nos rencontres avec lui, son âge, ses petits soucis de santé et son épouse, toujours à ses côtés, un couple bon et heureux. Ah, Frater Henri, que de joie et de bons souvenirs tu laisses derrière toi! Ton exemple nous incite à t’égaler, et nous aspirons, lorsque nous atteindrons ton âge vénérable, à faire preuve de la même sérénité, et à avoir aussi fait oeuvre utile, à faire honneur au symbole de notre Ordre, la Rose-Croix.

Après cette cérémonie, avait lieu le Comité d’Entr’aide Spirituelle, comme un fait exprès, comme si nous étions encouragés par notre Frater à continuer à travailler pour nos frères et soeurs humains. Comment se déroule une cérémonie d’Entraide Spirituelle? Ce sujet a déjà été traité dans mon blog et c’est ici:

http://leblogdegaudius.unblog.fr/2012/11/28/un-rituel-rosicrucien/

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