- Accueil
- > Biographie
Biographie
Au commencement…
Aussi loin que je me souvienne, dès mon plus jeune âge, j’ai toujours ressenti une certaine attraction pour la Rose-Croix et son symbole, que je trouvais très beau.
J’avais entendu parler de l’AMORC mais je ne savais pas où trouver cette organisation. Finalement, c’est à l’âge adulte, tout à fait « par hasard » que je suis tombé nez à nez avec une affiche annonçant une prochaine conférence.
Le jour venu, je me rends au lieu indiqué, je m’assois dans la salle, j’écoute la présentation et je prends des notes. Je m’enthousiasme de plus en plus car je sens que cela correspond à mes recherches. Je monopolise presque la parole, mais les rosicruciens présents n’ont pas l’air de s’en formaliser. Certains esquissent même un petit sourire.
Tout content, je retourne chez moi, la tête dans les étoiles et le coeur léger. J’ai les documents en main et de quoi lire et relire pendant plusieurs jours. Ne manque que le formulaire, que je m’empresse de demander au siège social, à Omonville. Je reçois en retour la brochure, « La maîtrise de la vie », avec son formulaire d’inscription et là…. Je n’ose plus. Je retourne les pensées dans ma tête: et si ce n’était qu’un feu de paille? Et si je m’étais trompé? J’ai beau savoir que toute liberté me sera donnée, tout de même, ça représente un sacré engagement.
J’hésite. J’y vais-t-y, j’y vais-t-y pas? C’est trop beau, je n’ose y croire, j’avais enfin touché au but et au dernier moment, je m’arrête. Il faut que je me décide.
Finalement, je fais le grand saut; je remplis mon bulletin d’affiliation, j’envoie ma cotisation, redoutant de ne pas faire l’affaire.
Quelques semaines plus tard, je reçois une enveloppe kraft venant d’Omonville. Mon premier envoi: ma carte de membre, des fascicules et une première monographie d’introduction. C’est ainsi que j’ai commencé à étudier les monographies rosicruciennes. Mais je ne me contenterais pas de rester chez moi, il fallait que je rencontre d’autres membres.
Cela fut fait et fera l’objet d’un prochain article.
Les premières rencontres
J’ai mis peu de temps après avoir reçu mes premiers envois et j’avais hâte de rencontrer des membres qui partageaient mes idéaux et avec qui je pourrais travailler en toute cordialité et en toute fraternité. Muni de l’adresse de la loge la plus proche, je m’y rends, d’un pas décidé, mais le coeur battant quand même. Je rentre dans le local, je frappe à la porte, on m’ouvre et je rentre. La pièce est déjà remplie de monde. Je me mets en règle en présentant mes documents d’affiliation au secrétaire.
Après un accueil des plus chaleureux et avoir été instruit de la façon de se conduire dans l’organisme, il est temps de se préparer. J’assiste à mon premier rituel qui me laissera un souvenir inoubliable. Lorsque je regagne la salle d’accueil, encore sous le charme, je retrouve des visages détendus et rayonnants,
Le reste de la soirée sera tout aussi détendue et chaque fois que je reviendrai en tant que visiteur, je retrouverai cette même atmosphère de simplicité et de fraternité.
Viendront ensuite mon affiliation à la Loge, les initiations, les sorties et les activités communes ; bref, la vie « ordinaire » d’un membre d’organisme. Chaque fois, j’y trouve toujours cette même chaleur et cette même simplicité des rapports. Chacun enrichit et forme l’autre. Au bout de cette vingtaine d’années de fréquentation, je suis toujours aussi fier de cheminer sur le sentier rosicrucien aux côtés de membres toujours aussi intéressants et motivés.
Feux de la Saint-Jean
Avant les vacances d’été, la loge avait organisé un après-midi fraternel et des membres nous avaient concocté une belle surprise : une saynète tirée du « Jardin du Prophète », de Khalil Gibran. Pendant des semaines, des répétitions et des visualisations avaient été nécessaires pour donner à ce « drame rituel » toute la profondeur et tout l’impact nécessaire.
L’après-midi avait été ponctué d’activités diverses et le soir commençait à pointer le bout de son nez quand vient le temps du repas, amené par les organisateurs. Les conversations fusent de toute part et la bonne humeur est générale.
Enfin, vient le grand moment de la soirée. En fait, il y en aura 2 :
En premier lieu, deux fratres font leur entrée ; l’un en cow-boy, l’autre en indien. Ils ne disent rien, mais expriment avec peu de gestes et de regard l’essentiel d’un texte qui passe en arrière-plan : c’est un texte du chef indien Seattle, en réponse au gouvernement américain qui lui proposait de racheter sa terre (le texte se trouve ici :)
http://www.imagesetmots.fr/pages/litterature/texte_seattle.htm
Grand moment de silence après le départ des acteurs, puis applaudissements à tout rompre.
Après une petite pause, vient le 2ème temps fort : c’est un texte de Khalil Gibran adapté pour la circonstance. Un disciple s’interroge sur l’Etre. Arrivent alors 12 « maîtres » qui lui apportent chacun une explication. Voici le texte intégral :
Après un moment, l’un des disciples demanda: «Maître, parle-nous de l’être, qu’est-ce donc être? »
Almustafa le regarda longtemps et l’aima. Il se leva, s’éloigna un peu d’eux, puis revint et dit:
«C’est dans ce jardin que reposent mon père et ma mère, enterrés par les mains du vivant; dans ce jardin aussi sont ensevelies les semences des années écoulées, apportées ici sur les ailes du vent. Mille fois mon père et ma mère seront ensevelis ici, mille fois le vent enterrera la semence; et dans mille ans, vous, moi-même et ces fleurs, nous serons rassemblés dans ce jardin comme aujourd’hui, nous existerons, aimant la vie, nous existerons, en rêvant d’espace, et nous serons en train de nous élever vers le soleil. »
Mais, aujourd’hui même, être, c’est être sage, sans être étranger au fou; c’est être fort, mais pas pour détruire ce qui est faible; »
C’est jouer avec de petits enfants, non comme le font les pères, mais bien plutôt comme des compagnons de jeux désireux de s’initier à leurs amusements.»
C’est être simple et franc avec les hommes et les femmes âgés, s’asseoir auprès d’eux à l’ombre de vieux chênes, bien que vous, vous viviez toujours à l’heure du printemps.»
C’est partir à la recherche d’un poète, même s’il demeure au-delà des sept fleuves, et être en paix auprès de lui, sans aucun désir, aucun doute, sans une question sur vos lèvres.»
C’est savoir que le saint et le pécheur sont frères jumeaux, fils de notre gracieux Roi, et savoir que l’un d’eux, parce qu’il est né à peine avant l’autre, nous le considérons comme le prince héritier.»
C’est suivre la Beauté, même si elle vous conduit au bord d’un précipice, et, bien qu’elle soit ailée alors que vous ne l’êtes pas, bien qu’elle saute au-dessus du précipice, la suivre quand même, car où la Beauté est absente, il n’y a rien.»
C’est être un jardin sans murs, une vigne sans gardien, une maison qui recèle un trésor, mais toujours ouverte à tous les passants.»
C’est être volé, trompé, abusé, oui, induit en erreur, pris au piège et ensuite bafoué, mais, malgré toutes ces avanies, regarder tout cela comme rien au fond de vous-mêmes, et sourire, car vous savez qu’un printemps viendra s’épanouir dans votre jardin, danser dans les feuillages, qu’un automne viendra mûrir vos raisins, et vous savez que si une seule de vos fenêtres s’ouvre à l’est, vous ne serez jamais sans rien.
Vous saurez aussi que tous ceux qu’on appelle malfaiteurs, voleurs, escrocs et trompeurs sont vos frères dans le besoin, et que vous-mêmes, vous êtes peut-être comme eux aux yeux des habitants bénis de la Cité Invisible, édifiée au-dessus de la cité visible.»
Quant à vous, dont les mains trouvent et fabriquent tout ce qui est nécessaire pour passer confortablement vos jours et vos nuits,
Être, c’est exercer le métier de tisserand avec des doigts qui voient, le métier d’architecte, jouant avec la lumière et l’espace, celui du laboureur en sachant que vous cachez un trésor dans chaque semence que vous enterrez, celui de pêcheur et de chasseur pitoyables pour le poisson et le gibier, mais plus encore pour ceux qui ont faim et pour tous les besoins de l’homme. ».
En un geste fraternel, maîtres et disciple partagent le pain, simplement, puis s’éloignent, nous laissant méditer sur la beauté et la profondeur de ce qui vient de se passer. Personne n’ose bouger ou dire quoi que ce soit, puis la soirée s’anime de nouveau, et les acteurs reçoivent les félicitations de tout le monde.
Mais la soirée n’aurait pas été complète sans un feu de joie. Bien vite, on commence à rassembler du petit bois, des branches un peu plus épaisses, un peu de papier et, d’un craquement d’allumettes, les flammes bondissent dans un crépitement joyeux. Chacun prend une branche et vient à son tour nourrir le feu, grave, respectueux même. Un frater africain se met ensuite à entonner un chant de son pays, rythmé par les claquements de main de toute l’assemblée. Son chant parle justement du feu. C’est très beau, c’est très paisible. Puis des notes résonnent dans la nuit : une guitare, un violon, un synthétiseur improvisent un mini-concert tandis que le feu continue de rayonner chaleur et lumière. On aimerait prolonger à l’infini ces instants magiques mais la nuit s’avance et il se fait bien tard. Petit à petit, les groupes se disloquent, les membres repartent, chacun dans son propre ressenti. Fratres et Sorores qui me lisez et qui y étiez, vous en souvenez-vous ?
Au Mont Saint-Michel
C’était aux environs de la Pentecôte. Nous nous étions tous donné rendez-vous au Mont S aint Michel pour un week-end intense. Après plus de 4 heures de route dans la bonne humeur, nous voilà arrivés à bon port. Les organisateurs nous attendent et nous indiquent le lieu de notre hébergement. Pour les uns, ce sera un gîte, pour d’autres, ce sera un camping. Vite rendus, nous défaisons nos bagages et nous choisissons chacun notre couche. Pour notre petit groupe, ce sera dans un gîte, à côté d’un centre équestre et les chevaux nous accueillent avec des hennissements et des coups de sabot de joie.
Après rassemblement de toute la troupe, direction le Mont Saint Michel. D’après mes souvenirs, mais je peux me tromper, la visite de la cathédrale est remise au lendemain matin, because trop de monde (à moins que le guide n’ait pas été disponible à ce moment là ?) et elle est remplacée par une conférence sur l’Alchimie. . Qu’importe, ni l’un ni l’autre ne m’ont marqué particulièrement puisque je ne sais plus si c’était le jour J ou le jour K (et je demande bien pardon au frater qui nous a régalés de son savoir et a suscité de riches échanges mais en tant que néophyte, tout cela était bien au-delà) de ma portée). Ce dont je me rappelle par contre, c’était la foule, et la chapelle Saint Pierre, où on se sent particulièrement bien, comme dans un cocon. C’est une église romane, petite, solide, rassurante, et à taille humaine. Je ne veux pas partir mais le groupe me presse et nous devons continuer la visite. Nous arrivons enfin à la chapelle Saint Aubert où on nous narre l’histoire du Mont Tombe (futur Mont Saint Michel) et la légende de Saint Aubert avec son trou dans le crâne. Et puis nous descendons face à l’océan. A main droite, dans un petit recoin, il y a une zone de silence. En s’y plaçant, on n’entend plus rien, mais on peut ressentir comme une pulsation, un battement de cœur de la Terrre elle-même. On comprend pourquoi le Mont Saint Michel est considéré comme un « haut lieu vibratoire ». Rendez-vous compte, ou essayez de vous imaginer un gigantesque capteur dont la pointe est la cathédrale, avec l’ange la couronnant à son sommet.
Et puis il faut rentrer pour le repas. La soirée est animée ; on dirait que nous en sommes tous revigorés. D’ailleurs, beaucoup d’entre nous auront du mal à s’endormir et, chacun dans nos lits, nous échangeons impressions et plaisanteries diverses. Cela en dérange-t-il certains ? Pas le moindre du monde et F… ronfle comme un bienheureux, nous arrachant après une minute de silence un rire contagieux. Cela incite les chevaux voisins à s’ébrouer et à donner des coups de sabot, comme pour dire : « c’est pas fini là-dedans ? », ce qui nous arrache derechef un énorme fou-rire. Tout de même, il faut bien se calmer un peu, et nous y parvenons peu à peu, insensiblement, nous laissant gagner par le sommeil.
Le lendemain, frais et dispos, nous prenons le petit déjeuner en commun, puis nous allons au Mont Saint Michel pour la suite du programme. Il me semble bien que c’était pour visiter la cathédrale, tôt le matin puisque je me souviens des rues presque désertes (maudite mémoire qui me fait défaut. Voilà ce que c’est que de manquer de concentration !). Je me souviens qu’au retour, les ruelles étaient de nouveau encombrées. Avant de repartir, j’en profite pour m’arrêter à une petite boutique de souvenirs pour acheter une reproduction du Mont Saint Michel au fusain. Comme nous devons repartir, nous ne pouvons assister au repas fraternel et à la visite de l’abbaye qui doit lui faire suite. Tant pis, cela se ferait une prochaine fois. Le cœur quand même léger, je me laisse bercer par le bruit du moteur, regardant sans regarder le paysage sur le chemin du retour.
Gaudius en plein New-Age
Avant de m’affilier à l’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix, je ne savais rien de ce mouvement de pensée: le Nouvel Age. Ce sont mes discussions avec les uns et les autres qui m’ont « ouvert » à ces nouveaux horizons. On admirait des peintures lumineuses, d’inspiration spiritualiste, on écoutait des textes d’une haute portée mystique ou on méditait sur de la musique harmonieuse, douce, apaisante, une musique faite pour vous aider à vous relaxer et à vous régénérer.
Et puis il y avait les auteurs, les magazines, les livres, les conférences, bref, tout un bouillonnement culturel, toute une effervescence. Tout pétillait, tout brillait, tout enchantait, car nous abordions l’ère du Verseau, qui amènerait enfin cette paix et cette fraternité universelle dont nous rêvions tous, nous serions tous « initiés à nous-mêmes », nous allions voir les cieux s’entr’ouvrir, nous allions accéder à de hauts niveau de conscience, nous allions rencontrer des Maîtres et bientôt, nous tutoierions les étoiles.
Mais pour cela, il fallait travailler sur soi même, il fallait lâcher prise, il fallait s’ouvrir à l’Amour divin, il fallait accueillir le Christ Cosmique en soi, il fallait oser et explorer ses possibilités infinies, il fallait….Jamais on n’avait tant parlé d’effort, de travail, d’œuvre, tout en faisant comprendre dans le même temps que les choses se faisaient « d’elles-mêmes » et qu’il fallait rester en « accueil », « réceptif », « domestiquer son égo » (quand il ne s’agissait pas tout simplement de l’anéantir) car c’était lui qui était l’obstacle, le mauvais génie, l’ombre qui nous empêchait de voir la lumière.
Dans le petit groupe que je fréquentais, les discussions allaient bon train. Les enseignements rosicruciens y avaient leur plus grande part, bien sûr, mais on parlait aussi parfois jusqu’à des heures avancées des Avatars et des Maîtres, certains adoptant d’ailleurs une mentalité SPA ( « je c herche un maître »), de la Grande Loge Blanche, nous commentions les derniers exploits de cosmonautes de l’astral, nous parlions des hauts lieux, nous discutions chakras et kundalini, énergies, vibrations, nature, elfes et élémentaux, , cristaux, astrologie, tarots ou numérologie « karmiques » ou « initiatiques » (le best, pas les superstitions pour le tout-venant).
Tout de même, ça me paraissait un peu compliqué et un peu fumeux, mais je suivais le groupe, en attendant de me faire une idée plus exacte de la chose. Ce n’est pas que je négligeais mes monographies mais voulant rester relativement ouvert, et convaincu avec et par d’autres que nous n’avions pas le monopole de la spiritualité, j’absorbais tout sans discernement. Croyant faire des pas de géant, je noircissais mes carnets de « révélations », d’ «inspirations », je me mettais à employer des termes pompeux et ampoulés, ne me rendant même pas compte que je ne faisais que répéter comme un perroquet ce que j’avais lu ou entendu ici ou là. C’est comme çà que fonctionne le New-Age : sans discernement de notre part ,on apprend à mettre le masque du spiritualiste alors que la démarche rosicrucienne nous apprend à nous révéler tels que nous sommes, mais ça, je l’ai compris bien plus tard.
Les choses faisant leur effet, j’ai vu petit à petit éclater le petit groupe es-New-Age que je suivais ; dans le même temps, je me prenais de monumentales baffes qui ont eu au moins pour mérite de me ramener sur terre et à plus de raison. Dans un premier temps, une immense colère vis-à-vis de ma crédulité, vis-à-vis aussi des autres, qui m’avaient trompé… Non, ils ne m’avaient pas trompé, JE m’étais trompé tout seul comme un grand. Et puis, avec le temps, je me suis dit que ces personnes auront été d’une grande aide pour moi, ne serait-ce que pour avoir montré ce qu’il ne fallait surtout pas faire. Chacun est parti de son côté, chacun a choisi une autre route, je les ai vus s’éloigner, un peu triste quand même, mais décidé à respecter leur choix, j’ai accepté leur décision. Puissent-ils au moins avoir retrouvé un peu de bon sens, c’est tout le mal que je leur souhaite.
Méthodiquement, j’ai fait le tri dans mes lectures, j’ai jeté quelques livres inutiles, les cassettes sont au fond d’un tiroir, pas prêtes de ressurgir (je crois me souvenir que j’ai réenregistré par-dessus certaines) et je suis beaucoup plus dubitatif vis-à-vis des belles déclarations , des « révélations cosmiques »ou des lectures faciles, celles qui vous font faire de beaux rêves et rien de plus.
Et pourtant, le New Age que j’ai connu n’avait rien de commun avec celui de maintenant. J’en ai eu la certitude quand on a commencé à parler des anges et de la kabbale. J’ai vu qu’il n’y avait alors plus d’espoir et que ces doctrines proposées ne pouvaient que séduire des rêveurs ou des esprits indolents.
J’ai tiré un trait, je suis passé à autre chose ou plutôt, j’ai abordé les choses avec plus de prudence, de circonspection même. Il m’arrive d’avoir la dent dure et d’être ironique, parce que je ne veux plus m’en laisser conter comme avant et les affirmations gratuites, ne reposant sur rien de tangible, mais au goût du jour, la façon d’énoncer des vérités spirituelles premières en hochant la tête comme des bigotes ont le don de m’exaspérer et parfois, je ne peux m’empêcher de me faire l’avocat du diable, rien que pour créer un choc salutaire chez l’interlocuteur.
Relative intolérance ? Peut-être. Sûrement, même.
Je ne sais rien de toutes ces révélations, de tous ces plans, de tous ces avatars, mais ce que je sais, c’est qu’un chemin spirituel n’est pas facile ET N’ A PAS A L’ETRE. La facilité, c’est la paresse, et on ne progresse pas en « laissant faire ». C’est notre propre travail qui nous forme, et pas de belles paroles. Au moins, au sein de l’AMORC, le travail ne manque pas et c’est tant mieux comme ça.
Gaudius
Gaudius
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.